La France demande à l'Argentine de clarifier l'arrestation de l'équipage d'Air France

Le gouvernement français a demandé aujourd'hui aux autorités argentines des explications sur l'arrestation à Buenos Aires le 30 octobre de l'équipage d'un vol d'Air France après passager a présenté une plainte.

Paris, le 14 novembre (EFE) - Le gouvernement français a demandé aujourd'hui des explications aux autorités argentines suite à l'arrêt à Buenos Aires, le 30 octobre dernier, de l'équipage d'un vol Air. France après le dépôt d'une plainte.

"La France regrette cet incident et demande de clarifier ce qui s'est passé." La France demande également des explications aux autorités argentines sur les conditions dans lesquelles l'équipage a été retenu ", a déclaré un porte-parole étranger.

L'Union nationale du personnel de la navigation commerciale (SNPNC) de France a dénoncé Lundi l'équipage du vol AF 228 Air France a subi la brutalité policière et a dit que les détenus vivaient « 48 heures d'angoisse ».

Le ministère français des Affaires étrangères Il a ajouté aujourd'hui que l'équipage était détenu par la police argentine pendant sept heures à son arrivée à Buenos Aires le 30 octobre.

Le lendemain, l'équipage a passé onze heures devant la justice argentine.

"Aucune accusation n'a été portée contre eux et ils ont réussi à revenir en France après qu'Air France ait dû annuler son vol Buenos Aires-Paris du passé 1 Novembre ", a déclaré le porte-parole ministériel.

L'exécutif français a rappelé que dans cet incident a été immédiatement mobilisé le consulat général français à Buenos Aires, qui a demandé à la les autorités locales fournissent une protection consulaire à l'équipage, sans préciser si cette demande a été accordée.

Selon les médias français, l'incident s'est produit lorsqu'une femme aurait prétendument fille d'un ancien vice-ministre de la justice de l'Argentine, a déposé une plainte sur le traitement reçu par l'équipage.

La femme s'est plainte parce qu'on lui avait refusé un changement de placé dans une catégorie supérieure, qui avait déjà demandé que le passager à côté de la séance avait montré un comportement inapproprié.

Selon le compte des médias, cette le passager se masturbait, bien que cette fin n'ait pas été mentionnée à l'équipage par le requérant.