Mai promet de résoudre la crise du logement à R.Unido dans le prochain budget

Le Premier ministre britannique, Theresa May, s'est engagée aujourd'hui "personnellement" à résoudre la crise en raison du manque de logements abordables au Royaume-Uni à la veille de la semaine prochaine. Présenter le budget de l'Etat pour l'exercice 2018-2019.

Londres, 16 novembre (EFE) .- Le Premier ministre britannique, Theresa May, a promis aujourd'hui "personnellement" de résoudre la crise en raison du manque de logements abordables au Royaume-Uni à la veille de que la semaine prochaine du budget de l'Etat pour l'année 2018-2019 est présenté.

Mai a reconnu que si des progrès ont été réalisés, « il reste beaucoup à faire, » et a admis que, sinon ils construisent "plus vite" plus de maisons que les gens peuvent se permettre, il y a un risque de promouvoir "une génération déracinée", également en raison du prix élevé des loyers.

On s'attend à ce que Le ministre de l'Economie, Philip Hammond, inclut des propositions sur la question du logement dans le budget général de l'Etat qu'il présentera au Parlement le 22 novembre, bien qu'il ait déjà a averti qu'il s'agissait d'un «problème complexe» pour lequel «il n'y a pas une seule solution».

Les mots de May ont coïncidé avec la diffusion de données indiquant qu'en 2016-2017 217,350 maisons neuves construites en Angleterre, 27700 plus que dans la période précédente et le nombre le plus élevé depuis la crise financière de 2008.

L'organisation aide les sans-abri Shelter, qui calcule à construire au moins 250.000 logements par an pour répondre à la crise nationale, barré la figure « trop bas » et critiqué le fait que « seulement un cinquième des Les maisons ont un prix abordable. "

Sur le prochain budget, le porte-parole de l'économie du travail, John McDonnell, a exhorté le gouvernement aujourd'hui à" rompre avec les mesures échouées austérité « ces dernières années et de consacrer à investir dans le logement et les services publics en général.

McDonnell a déclaré que son parti allouer 17.000 millions de livres (19 000 millions d'euros) supplémentaires à l'année pour des services tels que l'éducation et la santé qui seraient obtenus avec une augmentation de l'impôt sur les sociétés, entre autres mesures.